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Témoignage poignant du Pasteur Saïd Oujibou lors de la veillée pour les chrétiens persécutés dans le Monde



" JESUS N'EST PAS UNE RELIGION ! " Saïd Oujibou


...."La croix est toujours plantée dans le risque et dans la souffrance, arrosée de larmes et de sang. Nulle part elle ne prend racine et ne porte de fruit si sa prédication n'est accompagnée de renoncement. Les détenteurs du pouvoir peuvent porter un décret, favoriser une religion, mais ils ne peuvent pas la planter, ils ne peuvent que l'imposer. Seule l'Église peut planter l'Église. Personne d'autre que les saints, des hommes mortifiés, prédicateurs de la droiture, confesseurs de la vérité, ne peut créer une vraie maison pour la vérité..."

Cardinal John Henry Newman

De Muhammad à Yassou (Jésus) - Le témoignage d'un irakien de grande famille musulmane converti au Christ

L'interview de Joseph, anciennement Mohammed, sur Radio Notre-Dame - Click on ! :


Le Livre :

Présentation de cette vie actuelle et réelle, le livre Le Prix à Payer :

"Récit d'une conversion au christianisme en terre d'islam. Mohammed Moussaoui, fils aîné d'une grande famille chiite, se destine à la vie aisée d'homme d'affaires lorsqu'il fait la connaissance de Massoud, un chrétien. Cette rencontre le transforme au point de se convertir. Une fatwa est lancée contre lui. Obligé de se cacher pour vivre sa foi, il s'enfuit en Jordanie.

Quatrième de couverture

Le prix à payer

« Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d'entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon Nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C'est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie » (Luc 21,16-19).

Lors de son service militaire, Mohammed, jeune musulman irakien issu d'une grande famille chiite, découvre avec effroi que son voisin de chambrée est chrétien. Une relation paradoxale se noue entre les deux hommes. Mohammed en sortira métamorphosé. Revenu à la vie civile, il n'aura qu'une idée en tête : se convertir au christianisme. Une pure folie ! Pour ses parents et ses proches, c'est impensable. En Islam, le changement de religion est un crime.

Tout est mis en oeuvre par son clan pour le faire revenir sur sa décision. Rien n'y fait. Après les intimidations et les coups, viennent la prison et la torture... Mohammed, devenu Joseph par son baptême, vit un long calvaire mais ne cède pas. Une fatwa est prononcée contre lui. Ses frères lui tirent dessus, en pleine rue. Grièvement blessé, il s'effondre...

Le prix à payer est une histoire vraie."

Passage A lire :

"Dans les jours qui suivent, je n’ai plus qu’une idée en tête : celle de prolonger mon ivresse, de l’alimenter encore par la lecture complète des quartes Évangiles. Je veux tout connaître de ce Jésus, être inspiré par la manière dont il vit, absorber jusqu’à la dernière parole qu’il prononce, m’indigner de ce que les gens disent de lui …

Et pour la première fois, j’ai l’impression que s’ouvre une brèche dans mon mépris pour le Christianisme. Cette religion que je considère inférieure m’apparaît dorénavant sous un autre jour. Je ressens confusément qu’elle recèle d’une source pure d’amour, de liberté. Autant de bienfaits jusqu’alors totalement absents de ma pratique religieuse.

Au lieu de préceptes et d’obligations formelles, comme celle de la prière cinq fois par jour, les mots du Notre Père de l’Evangile résonnent dans ma tête et mon cœur comme un baume apaisant. Si Allah (voulant dire Dieu en arabe (chez les chrétiens et les musulmans)) parle comme un père qui aime ses enfants, s’Il pardonne même aux pêcheurs, alors ma relation à Lui ne peu plus être la même. Je ne suis plus dans la soumission ni dans la crainte, mais dans l’amour, comme dans une famille.

Même le repentir, qui existe pourtant dans l’islam, me paraît ici libéré d’une somme de conditions et de devoirs qui en faisaient un fardeau pesant.

Dans mon esprit se mélangent à présent tout ce que l’islam m’a inculqué, qui a marqué ma personnalité et mes pensées, et cette manière nouvelle pour moi de considérer la foi, qui, je dois bien l’avouer, me séduit énormément.

J’ai ainsi en tête tous les noms d’Allah donnés par le Coran. Il y en a quatre-vingt-dix-neuf connus : Éternel, Inengendré, Unique, Inaccessible, Ferme, Invincible, Glorieux ; Sage, Bienveillant, Miséricordieux, mais aussi Vengeur…

En revanche, il en existe un autre, le centième nom, que personne ne connait. Ce nom d’Allah est mystérieux et inconnu, j’ai l’impression de le découvrir aujourd’hui, c’est l’Amour ! "

Un Livre à lire et à Aimer !

Nous l'avons dévoré à la maison ce livre !! J'ai entendu dire que le livre fait un carton en France !!

Un Témoignage fort et vrai, d'une personne touchée par le Christ et uniquement par Lui, sa force pour la Vérité est magnifique ! Un exemple à suivre pour nous Chrétiens, dans la conversion et la faim de Dieu, Yassou Al Massih (Jésus le Christ) !

Gloria Deo !! Salam'aleikum !!

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"Je ne crois que ... ce que je vois" - dixit Thomas - Fable de la Chouette et de l'Aigle

"L’athée qui nie l’existence de Dieu juge un monde qu’il ne connaît pas"


Première prédication d’Avent du P. Raniero Cantalamessa

ROME, Vendredi 3 décembre 2010 (ZENIT.org) - Le scientifique athée qui nie l'existence de Dieu, juge en réalité un monde qu'il ne connaît pas. « Pour voir Dieu, il faut ouvrir un oeil différent », a expliqué le P. Raniero Cantalamessa O.F.M. Cap., ce matin, dans sa première prédication de l'Avent, en présence du pape et de la curie romaine, dans la Chapelle Redemptoris Mater, au Vatican.

Le prédicateur de la Maison pontificale a expliqué que ses trois méditations de l'Avent sont une « contribution » à « la nécessité pour l'Eglise d'une ré-évangélisation, qui a conduit le Saint-Père Benoît XVI à fonder le 'Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation' et à proposer comme thème de la prochaine Assemblée générale ordinaire du synode des évêques (...) 'La nouvelle évangélisation pour la transmission de la foi chrétienne' ».

Le P. Cantalamessa a choisi de développer trois « obstacles de fond » qui « rendent de nombreux pays d'antique tradition chrétienne 'réfractaires' au message évangélique » : le scientisme, la sécularisation et le rationalisme. Dans cette première prédication, il s'est penché sur le scientisme.

Pour illustrer le fait que, selon lui, le scientifique athée n'est pas apte à dire si Dieu existe ou non, le P. Cantalamessa a proposé une « fable ».

« Il existe des oiseaux nocturnes, comme le hibou et la chouette, dont l'oeil est fait pour voir de nuit dans l'obscurité, pas de jour, a-t-il raconté. La lumière du soleil les aveuglerait. Ces oiseaux savent tout et se déplacent à l'aise dans le monde nocturne, mais ne savent rien du monde diurne ».

« Supposons qu'un aigle se lie d'amitié avec une famille de chouettes et leur parle du soleil : comment il éclaire tout, comment sans lui tout plongerait dans l'obscurité et le gel, comment leur monde nocturne même n'existerait pas sans le soleil, a-t-il poursuivi. La chouette ne pourrait que répondre : 'Tu racontes des histoires ! Jamais vu votre soleil. Nous nous déplaçons très bien et nous nous procurons de la nourriture sans lui ; votre soleil est une hypothèse inutile et donc n'existe pas' ».

« C'est exactement ce que fait le scientifique athée quand il affirme : 'Dieu n'existe pas'. Il juge un monde qu'il ne connait pas, applique ses lois à un objet qui se trouve hors de sa portée. Pour voir Dieu, il faut ouvrir un oeil différent, il faut se risquer hors de la nuit », a souligné le prédicateur capucin.

Le P. Cantalamessa a expliqué qu'il y a un aspect du scientisme qui exerce une « incidence directe et décisive » sur l'évangélisation. C'est « la place de l'homme dans la vision du scientisme athée » selon laquelle l'homme est totalement marginal et insignifiant dans l'univers. La vision chrétienne affirme en revanche que l'homme a été créé « à l'image et à la ressemblance de Dieu ».

Le prédicateur a souligné que « la marginalisation de l'homme entraîne automatiquement la marginalisation du Christ du cosmos et de l'histoire ».

« Noël est l'antithèse la plus radicale de la vision scientiste », a-t-il ajouté, car « à Noël nous entendrons proclamer solennellement » que « par lui tout a été fait ».

Dans la vision chrétienne, la dignité et la vocation de l'homme ont été traduites par ce que la théologie grecque a défini comme « la divinisation de l'homme » par le Christ, et la théologie latine comme le rachat de l'humanité.

« Serons-nous capables, nous qui aspirons à ré-évangéliser le monde, de dilater notre foi jusqu'à ces dimensions vertigineuses ? Croyons-nous vraiment, de tout notre coeur, que 'tout a été fait par le Christ et pour le Christ' ? » s'est interrogé le P. Cantalamessa.

Gisèle Plantec

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