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Les fote dortografes, se modit flaiot ...

Trou noir ?


Trou noir la menace.

Plongez dans ce fameux phénomène qu'est le "Trou Noir".

En astrophysique, un trou noir est un objet massif dont le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper. De tels objets n’émettent donc pas de lumière et sont alors noirs. Les trous noirs sont décrits par la théorie de la relativité générale. Ils ne sont pas directement observables, mais plusieurs techniques d’observation indirecte dans différentes longueurs d’onde ont été mises au point et permettent d’étudier les phénomènes qu’ils induisent sur leur environnement. En particulier, la matière qui est happée par un trou noir est chauffée à des températures considérables avant d'être engloutie et émet de ce fait une quantité importante de rayons X. Ainsi, même si un trou noir n'émet pas lui-même de rayonnement, il peut néanmoins être détectable par son action sur son environnement. L'existence des trous noirs est une certitude pour la quasi-totalité de la communauté scientifique concernée (astrophysiciens et physiciens théoriciens).

Source WiKi.


Livre scientifique sur l'Histoire du Monde du Big Bang jusqu'a Toi - "Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science y ramène."

Scan de notre bouquin
Excellent ouvrage de trois grand noms français de la science, en France! Lire la quatrième de couverture ça vaut le voyage ...

Voici le meilleur commentaire de l'ouvrage qui résume, en partie, l'histoire ... Commentaire tiré du net :

Le récit de nos origines est tout simplement bluffant et fascinant. Pour un inculte en science comme moi, ce petit livre se révèle parfait car il aborde la naissance du Monde, de la Vie et des Hommes avec simplicité et intelligence.

Le romancier Dominique Simonnet mène l'enquête en interviewant à tour de rôle Hubert Reeves, astrophysicien - Joël de Rosnay, directeur de la Cité des Sciences -, et Yves Coppens, professeur au Collège de France.

Des trois récits proposés, on ne sait à qui remettre la palme du plus fabuleux. Chez Reeves, des images naissaient directement dans mon esprit, avec des explosions d'étoiles, des atomes se mêlant les uns aux autres. Assez fascinant, l'aveu que cette théorie laisse possible le rôle de Dieu ! Je ne saisis pas l'attitude des néo-créationnistes. Ils ont pourtant là quelque chose de profondément incroyable, démentiel et dont l'origine est tellement mystérieuse qu'ils auraient tout loisir de broder dessus. Deux éléments sont relevés par Reeves là-dessus : premièrement, le big bang a commencé par une libération de lumière (je dis « libération », parce que Reeves explique qu'il n'y a eu aucune explosion, contrairement à ce que tout le monde croit), or la Bible commence elle aussi par l'arrivée de la lumière.

(1.1 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
1.2 La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
1.3 Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut.)

Là, j'avoue que le point de rapprochement que font Simonnet et Reeves ne me paraît pas très évident. Par contre, plus intéressant, lorsque Reeves explique qu'il y a des forces immuables (« les quatre forces de la physique ont présidés à l'assemblage des particules, puis à celui des atomes, des molécules et des grandes structures célestes (...) : force nucléaire, électromagnétique, gravité et force faible... Tout ce que nous pouvons dire, c'est que, contrairement à l'univers qui n'arrête pas de se modifier, ces lois de physique, elles ne changent pas, ni dans l'espace ni dans le temps (...) si elles avaient été légèrement différentes, l'univers ne serait jamais sorti de son chaos initial ») ou lorsque Joël de Rosnay évoque le fait que la Vie est apparue dans l'argile ; or, dans les légendes pensant la création de l'Homme, celui-ci naît toujours de la Terre (2.7 L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant). Bref, je vois là des pistes de réflexions saisissantes, et en tout cas plus complexes et sujettes à discussion qu'on a bien voulu me l'expliquer. Quant à la partie sur la Vie, on découvre qu'elle est née de la matière et plus précisément de molécules mêlées.

Quant à l'Homme, Coppens tord le cou à l'idée que nous descendons du chimpanzé alors qu'en fait, nous descendons d'un ancêtre commun aux Hommes et aux singes, ce qui n'est pas la même chose. Il fait très bien comprendre comment l'Homme est apparu de par la sécheresse du climat, suite à un déluge (faut-il là encore y voir une réminiscence dans le récit de Noé ?) et là, l'Homme s'habitue à son nouveau climat en mutant : le passage de la station simiesque à celle debout est là encore très compréhensible et simple à imaginer. Et on précisera qu'une fois de plus, Coppens avoue que ce développement de la vie est étourdissant et que le « hasard » ayant donné naissance à l'Homme tel que nous le connaissons aujourd'hui laisse là encore la possibilité de Dieu. Décidemment, seul Rosnay refuse de céder là-dessus, mais ses propos apparaissent d'ailleurs peu convainquant.

Finalement le livre se termine sur une conclusion prospective concernant le futur de l'Homme, de la Vie et de notre planète. Avec optimisme, les trois savants envisagent un développement positif possible pour la Terre.

"Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science y ramène."

Francis Bacon et Louis Pasteur

Quatrième de couverture
« D'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous là ? Voilà bien les seules questions qui valent d'être posées. Jusqu'à présent, seules la religion et la philosophie y répondaient. Aujourd'hui, la science s'est faite une opinion: c'est la même évolution qui, depuis 15 milliards d'années, pousse la matière à s'organiser, du Big Bang à l'intelligence. Voici le récit complet de nos origines : l'univers, la vie, l'homme... Trois actes d'une même épopée racontés dans un dialogue alerte et sans jargon. C'est assurément la plus belle des histoires. Puisque c'est la nôtre. » - D. S.

Scandale des enfants cobayes à New York !

23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne.

"Bien qu’il ne s’agisse pas d’une véritable nouveauté (les faits remontent à fin 2004), je reste toujours fasciné qu’un scandale d’une telle ampleur reste confiné à quelques rares articles ou émissions... Cela est tellement gros qu’on a l’impression qu’il s’agit d’un canular de très mauvais goût. Malheureusement ce n’est pas le cas. L’histoire est si sordide qu’on peut la résumer en quelques points sans entrer dans les détails (...)"

la suite de l'article sur: http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=1125

Partie 2/2 du scandale des enfants cobayes à NY: http://www.dailymotion.com/video/x3flor_scandale-des-enfants-cobayes-a-ny-2

Les origines du Sida ne sont pas divines mais bien le résultat de la folie des Hommes - L'Homme est responsable de sa propre Histoire.


Les origines du Sida :

Un documentaire exceptionnel.

Le vaccin contre la polio est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ?

Pour faire un vaccin, on commence par faire une culture à partir de reins de singes puis il faut :

Prélever un morceau de tissu rénal et le diviser avec une paire de ciseaux.
Laisser reposer cette suspension pour faire une monocouche de cellules.
Ajouter le virus de la polio.
Prélever ensuite le liquide de ces cultures.
Filtrer pour enlever le reste des cellules. On obtient alors une suspension de virus. Soit on l’inactive avec du formol, soit on l’affaiblit par des passages successifs dans des cultures de cellules.

Il existe deux types de vaccins :

1) Le vaccin inactivé et injecté de Jonas Salk. Il contient des particules de virus de la polio qui ont été tuées dans du formol. L’immunité qu’il confère est temporaire et nécessite trois injections successives. Pour fabriquer son vaccin, Jonas Salk utilise des reins de macaques Rhésus. 2) Les vaccins vivants atténués de Albert Sabin et de Hilary Koprowski. Ils contiennent des particules de virus de la polio qui sont vivantes, mais affaiblies au cours d’un long processus où l’on passe le virus dans des cultures de cellules, jusqu’à ce que sa capacité à déclencher la maladie disparaisse. Ce vaccin est administré par la bouche et est efficace dès la première prise. Les notes de laboratoires d’Albert Sabin attestent qu’il utilisait des reins de macaques Rhésus ou de macaques synomolgus. Hilary Koprowski a « perdu » toute documentation permettant de prouver l’espèce de singe qu’il a utilisée. Il nie avoir utilisé des chimpanzés.

La course au vaccin

Dans les années 50, les Etats-Unis sont en guerre contre la polio, ce fléau qui attaque les enfants. C’est le début d’une course au vaccin entre les plus grands scientifiques : Jonas Salk, Albert Sabin et Hilary Koprowski. Chronologie.

27 février 1950 : Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un enfant américain de Letchworth village. 12 avril 1955 : Le vaccin de Jonas Salk est homologué. C’est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit « tué » et qui nécessite trois injections. Une campagne de vaccination de masse suit cette homologation aux Etats- Unis. 90 millions d’Américains seront vaccinés. 23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d’entre eux meurent. Des lots de vaccins provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant.

Mai 1955-1960 :
Ce drame relance la course au vaccin entre Albert Sabin, au Children’s Hospital Research Foundation (Cincinnati), et Hilary Koprowski, d’abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie. 1958-1959 :

Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS. 1957-1960 : Hilary Koprowski teste son vaccin expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains du Congo belge. Novembre 1958 : Albert Sabin analyse le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu. Novembre 1958 : L’OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.

Printemps 1960 : Le vaccin oral d’Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations de masse.

Durant l’été 1955, Hilary Koprowski et Ghislain Courtois, virologue et directeur du laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge), se rencontrent lors d’un colloque au Kenya et décident de créer un camp d’élevage de chimpanzés pour faire officiellement des recherches sur l’hépatite et la polio. Chronologie.

Hilary Koprowski et le Congo belge 1er mai 1956 : Le projet aboutit : ouverture du Camp Lindi, situé en retrait de Stanleyville. Ghislain Courtois en est le directeur. Janvier 1957 : Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au Camp Lindi.

Février 1957 : Ghislain Courtois reçoit Hilary Koprowski pour la première fois au Camp Lindi. Ils immortalisent cette visite par une photo « officielle » devant la pancarte du camp.

Mars 1957 : Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental « CHAT » de Hilary Koprowski à Stanleyville. 1er mai 1957 : Hilary Koprowski quitte les laboratoires Lederle à Pearl River dans l’État de New York (Etats-Unis)avec son vaccin oral expérimental « CHAT ». Il devient directeur du Wistar Institute à Philadelphie. 1er octobre 1957 : Inauguration en présence de Hilary Koprowski, Ghislain Courtois et toute l’équipe des médecins belges du nouveau laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l’époque.

26 décembre 1957 : Deux ans et demi après l’ouverture du camp, Gilbert Rollais, le chasseur officiel du camp et son équipe de Pygmées ramènent le 401e chimpanzé au Camp Lindi. 1er février 1958 : Fritz Deinhardt, spécialiste en cultures de tissus au Children’s Hospital de Philadelphie arrive à Stanleyville pour, officiellement, faire des recherches sur l’hépatite. Du

24 février au 10 avril 1958 : En l’espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin « CHAT 10A11 » dans la vallée de la Ruzizi, frontière entre le Congo belge, le Rwanda et le Burundi. Novembre 1958 : L’OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge. 1959 : Dans le cadre de leurs recherches, Joseph Vandepitte et Arno Motulsky font le tour du Congo belge et collectent 2000 échantillons de sang humain. En 1985, le chercheur André Nahmias découvrira que l’un de ces échantillons est positif au VIH...

Juin 1960 : Indépendance du Congo belge. La situation politique entraîne la fermeture du Camp Lindi dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental
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Science sans conscience ?

Sarkozy sur FB vu par les jeunes socialistes ...

A prendre au second degré mais pas à la légère, cette vidéo parodique est un moyen militant d’alerter les jeunes sur la nécessité de choisir, à l’occasion des européennes, entre la continuité des politiques libérales menées jusqu’à présent par Sarkozy et ses amis européens ou la volonté d’ouvrir la voie d’un vrai changement pour une Europe à gauche.